L'Equateur est un pays agréable mais très éprouvant pour les cyclistes. On n'arrête pas de monter et de descendre et ce, avec des pourcentages assez prononcés. Presque jamais de route en vallée ou sur des plateaux. Et comme avec le différentiel de vitesse on passe plus de 80% du temps dans les ascensions, on a l'impression de passer toutes ses journées à monter.
Comme de plus le temps était souvent nuageux, l'effort consenti permettait juste de se retrouver dans le brouillard. Assez frustrant à la fin.
Pour la partie nord du Perú, je devrais avoir essentiellement du plat en zone aride jusqu'à Lima, excepté pour la cordillère blanche.
PS: J'ai mis à jour l'itinéraire envisagé.
On commence par un petit bouquet.
Quelques paysages de ces derniers jours lorsque j'ai eu enfin du soleil.
Photo prise par Gilles, un cyclo français croisé hier et qui fait la route depuis le sud vers le nord.
Lui aussi trouve la montagne en Ecuador particulièrement éprouvante.
Sèchage du café
Rizière à l'arrivée à Macará. 2 Heures avant j'étais dans un zone aride au milieu des cactus.
Salut Alain
RépondreSupprimerJolies photos de fleurs ce matin mais pas de noms, sans doute ne les connais-tu pas? nous non plus, y aurait-il une orchidée parmi?
Quelques paysages sous le soleil,et heureux de te voir en photo:il y a du muscle.
Nous aussi nous avons notre plate-forme pour le séchage du café! on peut compter les grains récoltés (9) !
Le week-end dernier la France a du passer sous l'Equateur puisqu'il y a eu des températures de 35 ° et plus en certains endroits et sous un ciel très bleu.
Bises
Tes parents
Bonjour,
RépondreSupprimerEt moi qui ai dit qu'on ne produisait pas de café en France...
Oui, la seconde et la troisieme photos sont des orchidées.
En fait dans l'hémisphere sud c'est l'hiver.Donc normalement les températures sont plus fraiches.Et c'est aussi la saison séche.
Bises
Alain
Petit mot pour te dire que je suis toujours sur ton blog ton périple même si je ne prends pas le temps de mettre un message. Tes photos sont toujours aussi belles et témoignent d'une Amérique Latine digne de ses peuples originaires indiens. Continues ta longue route et emmagasines le maximum de souvenirs comme tu l'as déjà fait tout au long de ces nombreux mois. Et comme la vie peut parfois être injuste, tu prouves à tous que les grands bonheurs sont à chercher soi même et qu'il faut mettre à profit le fameux adage carpe diem... Au plaisir de suivre encore toutes tes futures aventures de velo-man. Pierre-Yves
RépondreSupprimerAlors là ! Tu vas nous monter le Machu Picchu ? Tu m'épates toujours... On a tous une petite vie bien ordinaire finalement... gros bisous guadeloupéens
RépondreSupprimerCorinne,
RépondreSupprimerDéjà un an que nous nous sommes croisés près du mont mac Kinley qui reste pour moi un excellent souvenir de ce voyage.
Le Machu Pichu, non. Son accès est très reglementé, mais je pense bien aller jusquà Cusco et traverser l'Aliplano jusqu'à la Paz
Alain.
Pierre-Yves,
Je partage bien sûr ton avis.
Nous faisons partie de la minorité (dans le monde) qui peut vivre selon ses choix.Bien sur, le champ des possibles n'est pas infini. Choisissons donc notre route et assumons nos décisions quelle qu'elles soient.
Alain